Nouveau message | Retour à la liste des messages
moins de 2 heures moins de 2 heures moins de 24 heures moins de 24 heures  
-> Messages récents
Afficher la discussion

Drôle d'abandon ! par N.M. (2005-11-13 22:15:40) Imprimer

Monsieur l'Abbé,

Ainsi que vous le signalez, le R.P. Guérard des Lauriers a publiquement exprimé, à plusieurs reprises, l'idée selon laquelle ladite thèse de Cassiciacum s'"épuisait" petit à petit.

- Non pas au sens où le R.P. en serait venu à rejeter ce qu'il avait écrit sur Paul VI, "pape materialiter" ;

- Mais au sens où la "materialité" de "Mgr Wojtyla" et plus encore des successeurs de ce dernier serait de moins en moins établie, sinon inexistante à un moment donné.

Vous citez l'interview publiée dans le n°13 de Sodalitium... A la lecture de ladite interview, où voyez-vous un abandon de la thèse de Cassiciacum ?

J'y trouve en effet ceci :

"(I) L'énoncé de la thèse de "Cassiciacum" (désignée ci-dessous par "thèse C")

- Cet énoncé requiert un présupposé métaphysique, qu'il est indispensable d'expliciter.

Tout étant créé est composé. Si cet étant est matériel (et non esprit pur) cette composition est celle de la matière et de la forme. La forme se définit : "quo aliquid habet esse" : "ce selon quoi tel étant a d'être" ; ainsi, l'âme est la forme du composé humain. La matière, globalement considérée, c'est, dans l'étant, ce qui est distinct de la forme, et a l'être par la forme ; la matière - sujet se définit : "quod habet esse" : "ce qui, dans l'étant concret, a l'être : ainsi le corps uni à l'âme, dans le composé humain.

De là résulte qu'au point de vue de la métaphysique (qui est celui de l' "esse" ) , la matière est déterminée par la forme ; il y a, de la matière à la forme, un rapport ontologique (on, ontos : l'étant) qui est de déterminé à déterminant.



En sorte que si, dans un même étant concret, se trouvent deux "parties" A et B, telles que A est, au point de vue Ontologique, déterminé par B ; et si on veut carac­tériser ce rapport QUI EST DANS L'ETANT entre A et B, en se plaçant au POINT DE VUE DE L'ETANT ; on doit dire ce-ci. Envisager cet étant MATERIALITER, c'est considérer en cet étant la "partie" A. Envisager ce même étant FORMALITER, c'est considérer en lui la "partie" B. Envisager tel humain MATERIALITER, c'est considérer en lui le corps, et tout ce qui a rapport au corps. Envisager ce même humain FORMALITER, c'est considérer en lui l'âme, et tout ce qui a rapport à l'âme.

Pourquoi introduire cette distinction : MATERIALITER - FORMALITER ? laquelle paraît être une abstraction et une complication ? Si on fait ainsi, c'est par souci de REALISME, c'est pour que le discours soit mieux conforme à la réalité. En effet, ce qui existe, c'est le TOUT, le composé, c'est l'homme qui est uniment corps et âme.



Le corps sans âme n'est pas même un corps humain ; l'âme humaine séparée n'est pas une personne. Si on veut saisir le corps et l'âme tels qu' ils SONT EN REALITE, il faut, considérer ceux-ci DANS LE TOUT ; il faut considérer : TEL humain selon son corps, ce qui est le considérer MATERIALITER (au point de vue de la "matière") ; et il faut considérer TEL humain selon son âme, ce qui est le considérer FORMALITER ( au point de vue de la " forme" ) .La distinction : MATERIALITER -FORMALITER, qui est une distinction de "points de vue", parait donc être plus abstraite que la distinction : MATIERE -FORME, laquelle est une distinction de "choses". Cependant, en réalité, la distinction : MATERIALITER- FORMALITER respecte mieux la concrétude de l'étant, et la véritable nature des "parties" telles qu'elles sont réellement DANS l'étant, et SEULEMENT DANS L'ETANT.



De cette conformité MAXIMALE à la REALITE, il s'ensuit nécessairement que la distinction MATERIALITER -FORMALITER a, ex se, une portée analogique que ne peut avoir la distinction MATIERE -FORME: laquelle concerne, non l'esse comme tel, mais seulement une catégorie particulière d'étants créés.

- Le rapport qui existe entre la personne physique du Pape et le charisme papal, se trouve clairement précisé au moyen de la distinction : MATERIALITER- FORMA­LITER.



Expliquons le en considérant un "cas concret ",



Le Cardinal E. PACELLI est l'élu d'un Conclave valide. Il n'est pas encore Pape. Cependant, à la différence de tous les autres Cardinaux, le Cardinal Pacelli et lui seul est en disposition ultime à devenir Pape: tout comme, au cours d"une géné­ration, la matière qui va devenir celle de l'engendré est en disposition ultime à re­cevoir la forme de celui-ci. On peut donc dire, par analogie, que la personne physi­que élue par un Conclave supposé valide est constituée Pape MATERIALITER ; et cela, ipso facto : A LA CONDITION CEPENDANT que ladite personne physique NE soit PAS hypo­théquée d'un obex[4] demeuré occulte et suspendant en elle l'état normal de l'élection.

Le Cardinal E. PACELLI accepte l'élection. Il reçoit, en l'acte même de cette acceptation, la Communication exercée par le Christ en faveur de Pierre et des Succes­seurs de Pierre (Jn XXI 15- 17). Le Cardinal E. PACELLI est donc constitué Vicaire de JESUS-CHRIST. Et comme, être Vicaire de Jésus-Christ., c'est TRES PRECISEMENT EN CELA que consiste le fait d'être Pape, on dit que la même personne physique, savoir le Cardinal E. PACELLI, qui était Pape seulement MATERIALITER en vertu de l'élection devient Pape FORMALITER en l'acte même où il accepte l'élection. Il y a cependant, pour la seconde étape (FORMALITER), une condition sine qua non ; et cela, tout comme pour la première étape (MATERIALITER). Cette condition est évidente, et elle est la suivante: Il faut que, au moment même où le Cardinal E. PACELLI affirme extérieurement accepter l'élection, IL NE POSE PAS intérieurement d'une manière occulte un obex qui l'ait empêché de RECEVOIR la Communication promise et exercée par le Christ. S'il s'était avéré ulté­rieurement qu'un tel obex eût existé lors de l'acte d'acceptation, le Cardinal E. PACEL­LI n'eût été, à aucun moment Pape FORMALITER.



La distinction FORMALITER - MATERIALITER entendue comme on vient de l'exposer a été utilisée par S. Robert BELLARMIN. Cette distinction, et les deux conditions sine qua non qu'on vient de préciser, s'imposent d'ailleurs, de par la métaphysique du "sens commun", et en vertu du DROIT NATUREL fondé sur cette métaphysique, exigé par elle ; et, par conséquent sous-jacent même au droit divin, a fortiori au droit canoni­que et au droit purement ecclésial.

- L'énoncé de la "thèse"C, conformément à la distinction : FORMALITER - MATERIA­LITER.



La "thèse C" concerne le rapport dont il est question au paragraphe précédent (B): rapport entre la personne physique qui "occupe" au moins apparemment le Siège épiscopal de Rome, et le charisme qui est propre au Pape. La manière de posséder ce charisme, c'est CELA qui constitue la manière d'être Pape.

La "thèse C" comprend deux parties, conformément aux deux membres de la dis­tinction-clé (FORMALITER - MATERIALITER);



A) L'occupant du Siège apostolique ( le Cardinal Montini, au moins après le 7 décembre 1965, Mgr Luciani, Mgr Wojtyla) N'EST PAS PAPE FORMALITER. Il faut ne pas le désigner par le mot Pape.

C'est-à-dire que ledit "occupant" N'EST PAS, en aucun de ses actes, le Vicaire de Jésus-Christ. Ces actes, en tant précisément qu'ils prétendent être actes du Pape, en tant que Pape, SONT NULS. Il n'y a pas à désobéir aux "ordinations" prétendument portées par Mgr Wojtyla en tant qu'il serait Pape ; car il n'est pas en acte le vicai­re de Jésus-Christ ; toutes les ordinations portées à ce pseudo titre sont VAINES, NULLES, sans aucune portée dans la réalité. IL FAUT, non désobéir, mais IGNORER.



B) L"'occupant" du Siège apostolique EST CEPENDANT "PAPE" MATERIALITER. On peut, commodément, le désigner sous le nom de "pape" : les guillemets consignifiant qu'il n'est pas Pape.

C'est-à-dire que l' "occupant " occupe le Siège d'une manière illégitime et sacri­lège (puisqu'il n'est pas Pape, et se fait passer pour tel) ; mais il l'occupe. Dési­gner un Pape véritable requiert canoniquement d'avoir, au préalable, constaté et déclaré la vacance réelle du Siège matériellement occupé.



C) En résumé, on peut dire, Au plus tard à partir du 7 décembre 1965, il y a VACANCE FORMELLE du Siège apostolique, bien que ce Siège ait été et soit "occupé" MATERIALITER par trois personnes, toutes en état de Schisme capital.



(II) La preuve de la "thèse C", en chacune de ses deux parties.

­

- La preuve de la partie (A) , savoir : l"'occupant " du Siège apostolique N'EST PAS Pape FORMALITER. Car, ainsi qu'on l'a expliqué ci-dessus (I B) , l'élu d'un Concla­ve supposé valide n'est constitué Pape FORMALITER en l'acte même de sa propre acceptation, QUE SI, en l'instant même où il pose cet acte publiquement, il ne pose pas intérieurement un autre acte, et n'est pas intérieurement dans un état occulte, qui l'empê­chent de RECEVOIR la COMMUNICATION promise et exercée par le Christ. Puisqu'en effet c'est EN RECEVANT cette communication qu'on est en acte le Vicaire du Christ, c’est-à-dire Pape FORMALITER, s'opposer volontairement â cette RECEPTION, c'est rendre volon­tairement impossible qu'on puisse être Pape FORMALITER.

On doit évidemment, a priori, présumer la loyauté de la personne qui accepte d'être l'élue d'un Conclave valide. Cependant, Léon XIII l'a expressément déclaré ("Apostolicae curae", 13 IX 1896 : DS 3318) : "l'Eglise doit juger de l'intention en tant que celle-ci est extérieurement manifestée". L"'occupant" (du Siège apostolique) a-t-il eu réellement, en acceptant l'élection par le Conclave, l'intention de recevoir la Communication exercée par le Christ ? Pour répondre à cette question, il faut, selon Léon XIII, considérer les FAITS. Si l'"occupant" avait eu, en réalité, l'intention de recevoir ladite Communication, alors il devait ENSUITE, HABITUELLEMENT, se conformer à toutes les exigences de cette Communication. Si, au contraire, il s'avère que, CONTI­NUMENT ET SYSTEMATIQUEMENT, l'"occupant" va à l'encontre des exigences les plus fonda­mentales qui sont inhérentes à la Communication exercée par le Christ, IL FAUT CONCLURE, (d'après Léon XIII) que l"'occupant" n'avait pas en réalité l'intention de la recevoir,et que par conséquent il n'a jamais été (ou il a cessé d'être) Pape FORMALITER.



Or, en l'occurrence, les exigences de la Communication exercée par le Christ en faveur de Pierre et des Successeurs de Pierre sont de deux sortes. Les unes sont en fait présupposées à la Communication ; mais elles ressortissent à l'ontologie : en sorte que, bien que d'ordre naturel, elles sont impérieusement nécessitantes pour la Communication parce qu'elles lui sont immanentes. Les autres exigences sont-conséquen­tes à la Communication et elles sont d'ordre surnaturel "quoad substantiam". Examinons successivement ces deux sortes d'exigence, en observant comment se comporte à l'égard de chacune respectivement, l"'occupant" du Siège apostolique.



Le Christ, en instituant Son Eglise comme Société humaine visible, a ipso facto sanctionné, pour cette Eglise qui est Sienne, les normes qui sont immanentes par nature, et donc nécessairement, à toute Société de ce type. Or, nous nous bornons ici à le rap­peler, en toute Société, l'existence même de l'autorité requiert d’être fondée sur le propos de réaliser le bien commun qui est la fin de ladite Société. Une "personne physique ou morale qui, au sein d’une Société, poursuivrait habituellement et de multiples façons la néantisation du bien commun. qui est propre à cette Société, une telle " personne " donc, ne peut être l'autorité dans ladite Société. L'Eglise, en naissant selon cette Loi, "eam non minuit, sed sacravit" (De même que "JESUS, nais­sant de MARIE, a, en ELLE, consacré la Virginité, et non pas amoindrie") - Or nous observons que, depuis 25 ans, par des procédés indirects mais très efficaces et con­vergents, l"'occupant" du Siège apostolique poursuit la dégradation de ce que juste­ment il devrait promouvoir, savoir le "Bien" commis en propre à l'Eglise par son divin Fondateur, notamment l'OBLATION PURE et le Dépôt révélé. D'où il suit que l"'oc­cupant" du Siège apostolique ne peut pas être, dans l'Eglise , l' "Autorité". Il n'est pas Pape FORMALITER.



La Communication exercée par le Christ en faveur de Son authentique Vicaire présente également des "prérogatives" (et, vues du dehors, des "exigences") qui lui sont conséquentes. La principale est l'Infaillibilité. Il est révélé que l'Infailli­bilité comporte deux formes : le Magistère extraordinaire solennel [(Le Pape prononce "ex Cathedra" (Immaculée Conception par Pie IX, Assomption par Pie XII)] ; le Magistère ordinaire universel [ensemble des Evêques, dispersés ou réunis, en communion avec le Pape (Assomption, avant la définition par Pie XII)]. Il est donc impossible que l'authentique Vicaire de Jésus-Christ, lorsqu'il se prononce selon l'une ou l'autre de ces deux formes, affirme une chose qui soutienne l'opposition de contradiction avec une doctrine déjà révélée. Or, le 7 décembre 1965, le Cardinal Montini a promulgué, en engageant pour le moins [Cf. 3] le Magistère ordinaire universel, une proposition concernant la "liberté religieuse" qui soutient l'opposition de contradiction avec la doctrine infailliblement définie par Pie IX dans l'Encyclique "Quanta Cura" liée au "Syllabus" (08 XII 1864). Il faut donc conclure, d'après Léon XIII, que, posant cet acte le Cardinal Montini n'avait pas l'intention de recevoir la Communication exercée par Jésus Christ, et n'était donc plus Pape FORMALITER.

En résumé (de α). Le Vicaire de Jésus Christ ne peut agir COMME TEL que CONFORMEMENT au charisme qu'il tient de la Communication exercée en sa faveur par Jésus Christ. Il ne peut donc agir que conformément à Jésus Christ, donc conformément aux normes naturelles fondamentales sanctionnées et assumées par Jésus Christ, et conformément à la VERITE déjà manifestée par Jésus Christ. Quelque contradiction que ce soit, observable et observée sur l'un de ces points, prouve nécessairement a posteriori, que l'auteur d'un pareil délit ne peut pas être le Vicaire de Jésus Christ.

β. La preuve de la partie (B), savoir : l"'occupant" du Siège apostolique est "pape" MATERIALITER.

On a expliqué ci-dessus (IB) en quel sens il convient de dire que l'élu d'un Conclave supposé valide est, avant même son acceptation, pape MATERIALITER A LA CONDI­TION CEPENDANT : que, premièrement le Conclave soit valide (Que de "bruits" ont circu­lé, plausibles sinon fondés, concernant les trois derniers Conclaves... Tisserand, Siri...) ; que deuxièmement, l'élu apparent ne soit pas hypothéqué d'un obex demeuré occulte et suspendant en lui l'effet normal de l'élection (Si, par exemple, on prou­vait avec certitude que Mgr Wojtyla appartenait à une société occulte antichrétienne avant son élection).



Or l'existence d'un éventuel obex, découvert a posteriori, soit dans le "Con­clave" qui élit, soit dans la personne ainsi choisie, ne suffit pas à infirmer que celle-ci soit, au moins provisoirement, "pape" MATERIALITER. Car une donnée certaine, MAIS QUI N'EST PAS D'ORDRE ONTOLOGIQUE, ne peut pas être immanente aux Normes divines elles-mêmes. Une telle donnée ne peut donc avoir valeur et FORCE dans l'Eglise qu’en vertu d'une ordination et d'une promulgation faite par l'authentique Autorité de l'E­glise. Et comme une telle Autorité, actuellement, fait défaut, nul n'est actuellement qualifié, dans l'Eglise (Nous entendons : la vraie Eglise ; et non, comme telle l'é­glise que préside Mgr Wojtyla) pour déclarer qu'après le 7 Décembre 1965, le Cardinal Montini a cessé d'être "pape" MATERIALITER.



La même observation vaut pour les "occupants" du Siège apostolique qui ont succédé au Cardinal Montini ; cela, DANS LA SEULE MESURE OU une "hiérarchie" qui l'est seulement MATERIALITER peut se perpétrer. Une telle perpétuation n'est pas, ex se, impossible. Elle requiert cependant expressément des Sacres épiscopaux qui soient cer­tainement valides. Et comme le nouveau rite est douteux, les"occupants"(du Siège apos­tolique) ne seront bientôt plus que des "figurants" ! Mgr Wojtyla est, à cet égard et pour le moins, un éminent précurseur .

Comment, dans ces conditions, l’apostolicité de l'Eglise sera-t-elle sauvée ? Quoi qu'il en soit de ce Mystère, que nous voile actuellement le "mystère d'iniquité", il Faut évidemment tenir que la succession apostolique sera sauvegardée, ininterrom­pue " jusqu'à la fin des Siècles" (Matt XXVIII 20). La "visibilité" n'est pas une note de l'Eglise ; elle a subi des éclipses, car elle est seulement la POSSIBILITE DE DROIT, non toujours réalisé EN FAIT (Cf. le Grand Schisme) d'observer l'Apostolicité. Tandis que l'Apostolicité est une note, permanente comme l'est l'Eglise elle-même. Il faut donc tenir absolument la norme, sans laquelle la succession apostolique se trouverait OBJECTIVEMENT interrompue. Cette règle, impérieuse et évidente, est la suivante. La personne physique ou morale qui a, dans l'Eglise, qualité pour déclarer la vacance TOTALE du Siège apostolique est IDENTIQUE à celle qui a, dans l'Eglise, qualité pour pourvoir à la provision du même Siège apostolique. Qui déclare actuellement : "Mgr Wojtyla n'est pas pape du tout (pas même MATERIALITER)", doit ; ou bien convoquer le Conclave (!) ou bien montrer les lettres de créance qui l'instituent directement et immédiatement Légat de Notre Seigneur Jésus Christ (! !) .

Ces dernières observations montrent suffisamment que la portée objective de la question : "l'occupant du Siège apostolique est-il ou non "pape" MATERIALITER ? " est tellement hors de nos prises, que concrètement et réellement, la réponse à cette ques­tion n'a guère d'impact sur le comportement effectivement possible du fidèle attaché à la Tradition."

"Sodalitium" n°13, mars 1988.

A ma connaissance, il s'agit là du texte le plus tardif de l'auteur en faveur de sa propre thèse. Tout sauf l'abandon que vous dites.

Respectueusement

N.M.

Ce message a été lisu 390 fois

La discussion

images/icones/coeurbrise.gif "Scoop" : Le P. Guérard n'a-t-il pas abandonné s [...] par abbé Zins (2005-11-13 14:36:55)
     images/icones/sacrecoeur.gif Le RP guérard était donc "providentialiste" ! par Carennac (2005-11-13 20:22:46)
         images/icones/fleche2.gif Bis repetita... par N.M. (2005-11-13 21:54:02)
     images/icones/carnet.gif Drôle d'abandon ! par N.M. (2005-11-13 22:15:40)
         images/icones/hein.gif Question posée en passant par John DALY (2005-11-13 22:33:29)